Et trois nuits par semaine..
Tout était pourtant réuni pour que tout se passe bien. La fatigue, une petite verveine avec du miel, un cachet, le chauffage allumé : même un petit échauffement du poignet droit pour me détendre. Après deux nuits de calvaires, la troisième je parviens enfin à m'endormir. Et pour quoi faire ? Un cauchemar qui vient tout foutre en l'air. Un sacré foutu bordel de putain de cauchemar, comme on n'en fait pas quand on a huit ans. Ça valait bien la peine.