Sex education

Nous sommes dans les années 70, je viens d'emménager dans une ville de banlieue dont le nom m'échappe mais commence par un L.

Ma première journée de cours, mardi 16h, au lycée T — le nom m'échappe aussi, — se termine par éducation sexuelle. 
On est au mois d'avril, tout le monde se connaît, et je me retrouve au fond de la classe à côté de Mona — mais je ne crois pas que ce soit sont vrai nom — qui m'explique qu'ici les gens sont coincés, pas comme aux États-Unis.

Le professeur est une femme d'environ 40 ans, plutôt petite et trapue, cheveux coupés courts coiffés en arrière. Le genre de femme à porter un cuir en conduisant un solex.
Elle nous explique que le sujet du jour est "les petits plaisirs féminins". Au milieu des années 70, nous avons déjà vécu la libération sexuelle chez la femme. Une jeune fille blonde à couettes au premier rang lève la main pour se porter volontaire. Il s'agit de Christine.
La quadragénaire s'approche d'elle et l'allonge sur son bureau, puis elle soulève sa jupe.

C'est un cours avec mise en pratique, et avec présentation de l'exercice. 

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